Comment se Faire des Amis et Influencer les Autres -de Dale Carnegie. Part 1

Salut mes champions, aujourd’hui je vous résume le livre de Dale Carnegie intitulé : Comment se faire des amis et influencer les autres.

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Je vous l’avoue, c’est l’un des livres les plus efficaces au monde en matière de relations humaines que j’ai lu entièrement en une semaine. Ce livre doit être notre bible si nous voulons améliorer notre vie sociale, être plus influents et améliorer nos compétences en matière de leadership. Même si ce livre a été écrit il y à longtemps, il est encore d’actualité aujourd’hui et c’est pour cela qu’il est l’un des livres les plus vendus au monde dans cet article, je vais le résumer en entier. après avoir lu cet article, vous pourrez dire que vous avez lu ce livre car ici je couvre chaque chapitre. Sans trop parlé, on peut commencer avec la première partie.

Chapitre 1 : ne pas critiquer, condamner ou se plaindre

Les gens ne se critiquent pas et ce pour quoi que ce soit, même s’ils ont tort. Rappelez-vous que les gens sont des créatures d’émotion et qu’ils sont motivés par leur ego et leur fierté. critiquer les gens les met presque toujours sur la défensive et ils trouvent des moyens de rationaliser leurs actions. même les membres de la famille d’un criminel se réfugient souvent dans le déni accusant le système plutôt que la personne qui a commis le crime. Les critiques blessent la fierté et le sentiment d’importance d’une personne. n’oublions pas que les gens peuvent garder du ressentiment pour des insultes qui peuvent durer toute une vie. les critiques et ne les incitera pas à modifier leur comportement car ils ne sont pas essentiellement mû par la raison mais par l’émotion toute personne faible peut critiquer ou se plaindre il faut un vrai caractère pour comprendre et pardonner.

chapitre 2 : donner une appréciation honnête et sincère

L’un des moteurs les plus puissants du comportement humain est le désir d’être appréciée par les autres. nous aimons tous être complimenter et entendre que nous faisons du bon travail. certains prétendent même que toute la civilisation repose en définitive sur le désir humain d’être important. notre soif d’approbation et des louanges nous pousse à escalader les plus hautes montagnes à écrire des romans et à fonder des entreprises de plusieurs millions de dollars. il n’est pas nécessaire de donner un titre ronflant à quelqu’un pour lui témoigner votre appréciation.

il suffit d’utiliser des phrases simples comme merci et je suis désolé tout. en faisant des loges sincère et honnête, évitons les flatteries bidon car ils s’en apercevront. au lieu de cela, arrêtons de penser à nous pendant un moment et concentrons-nous sur les points positifs de la personne en face de nous. veillons également à ce que l’autre personne se sente importante. pour nous mettre dans le bon état d’esprit, essayons de penser comme Emerson qui disait que chaque personne qui le rencontrait, lui était supérieur à certains égards et qu’il y avait donc toujours quelque chose à apprendre et à apprécier chez les autres ou bien pensons à la règle d’or « traitons les autres comme nous aimerions qu’ils nous traitent », ainsi la prochaine fois que nous verrons un employé de services fatigué, ennuyé ou sous-estimé, essayons d’égayer sa journée avec un peu d’appréciation.

laissons de petites étincelles d’appréciation au cours de la journée et nous serons surpris de voir à quel point les gens réagissent positivement. lorsque leur soif de reconnaissance est satisfaite, nous deviendrons rapidement quelqu’un que les autres apprécient et avec qui ils aiment travailler et surtout nous aurons un impact positif sur la vie de ceux qui nous entourent.

Chapitre 3 : faire appel à l’intérêt d’une personne

Disons que nous aimons les gâteaux. lorsque nous allons à la pêche nous n’attachons pas du gâteau au bout de notre ligne nous attachons ce que le poisson veut c’est à dire un verre de terre. pourquoi traiter les gens différemment ? bien sûr nous nous intéressons à ce que nous voulons, mais personne d’autre ne l’est. tous les autres sont comme vous, nous voulons tous ce que nous voulons la seule façon d’influencer les autres et de parler de ce qu’ils veulent et de leur montrer comment l’obtenir.

chaque personne dans le monde sait ce qu’elle veut et se soucie de ce qu’elle obtient. Abordons-les dans cette direction avant de parler, faisons une pause et demandons-nous : qu’est-ce que l’autre personne peut retirer de ceci ? mettons-nous même au défi : de ne rien dire de ce que nous voulons. montrons sans relâche aux autres que nous voulons les aider. le monde est rempli de personnes qui recherchent leurs propres intérêts ainsi, la rare personne qui sert les autres de manière désintéressée a un énorme avantage. Carnegie avait une belle sœur dont les enfants ne répondaient jamais aux lettres.

il a parié avec quelqu’un qu’il pourrait obtenir une réponse sans en demander une. il a écrit des lettres en mentionnant à la fin qu’il envoyait un billet de cinq dollars en oubliant exprès d’insérer le billet de cinq dollars dans la lettre bien évidemment les enfants ont répondu le remerciant d’avoir écrit et demandant où était l’argent.

nous venons de voir les trois chapitres de la première partie. pour lire la deuxième partie, cliquez ici